Constipation | Constipation | Constipation | C | French | Gastrointestinal | Child (0-12 years);Teen (13-18 years) | Large Intestine/Colon | Large intestine;Rectum | Conditions and diseases | Adult (19+) | Constipation | | 2019-05-16T04:00:00Z | | | | | | 8.10000000000000 | 62.2000000000000 | 992.000000000000 | | Health (A-Z) - Conditions | Health A-Z | <p>Découvrez les différentes causes de la constipation chez votre enfant et comment vous pouvez aider à la soulager avec un régime alimentaire adéquat, l’apprentissage de la propreté ou des médicaments.</p> | <h2>Qu’est-ce que la constipation?</h2><p>La constipation est un comportement anormal des intestins lors duquel les selles sont évacuées moins souvent et sont plus dures que d’habitude. La constipation s’accompagne d’inconfort. Dans les cas extrêmes, s’il y a souillures, on parle d’<a href="/Article?contentid=3&language=French">encoprésie</a>.</p><p>Chaque personne a un « comportement intestinal » différent. La fréquence des selles peut varier de plusieurs fois par jour à plusieurs fois par semaine. Si la fréquence des selles de votre enfant a diminué, il se peut qu’il soit constipé.</p><p>La constipation peut s’étendre sur plusieurs jours, plusieurs semaines ou plusieurs mois. Elle peut aussi se produire lors d’un changement dans les habitudes, comme l’<a href="/Article?contentid=636&language=French">apprentissage de la propreté</a>, l’entrée à l’école, l’arrivée d’un petit frère ou d’une petite sœur, un départ en vacances ou une modification du régime alimentaire.</p><p>Souvent, les selles peuvent sembler normales, mais s’accumulent dans les intestins avec le temps. Cette accumulation cause des crampes abdominales (au ventre) et de la douleur. Pour les enfants qui ont été constipés pendant une longue période, entraîner l’intestin à reprendre un comportement normal peut prendre plusieurs mois, voire des années. </p><p>Point à se rappeler : votre enfant peut souffrir de constipation même s’il va à la selle tous les jours.</p> | | <h2>À retenir</h2><ul><li>La constipation consiste en des selles moins abondantes que d’habitude, douloureuses ou difficiles à évacuer.</li><li>La constipation peut être causée par le manque de fibres dans le régime alimentaire, une modification des habitudes intestinales ou des médicaments, ou le fait de ne pas boire suffisamment de liquides.</li><li>Chez la majorité des enfants, la constipation peut être une composante familiale.</li><li>Des changements dans le régime alimentaire de votre enfant peuvent contribuer au soulagement de sa constipation.</li><li>Le médecin de votre enfant peut également vous proposer l’administration de médicaments comme des émollients fécaux pour vider les intestins.</li><li>Consultez votre médecin s’il y a du sang dans les selles de votre enfant, s’il perd le contrôle de ses selles, s’il a de la fièvre, s’il souffre de douleurs abdominales intenses ou qu’il vomit.
</li></ul> | | | <h2>Qu'est-ce qui cause la constipation?</h2><p>Chez la majorité des enfants, la constipation est causée par de mauvaises habitudes intestinales ou un mauvais régime alimentaire. Voici des causes courantes de la constipation :</p><ul><li>ne pas boire suffisamment de liquides; </li><li>manque de fibres issues de grains complets, fruits ou légumes dans le régime alimentaire de votre enfant; </li><li>trop de malbouffe et autres aliments provoquant la constipation dans le régime alimentaire de votre enfant; </li><li>se retenir pour éviter les douleurs à l'évacuation des selles dues à des fissures (petites déchirures) à l'anus;</li><li>causes génétiques: certains enfants héritent de la tendance à la constipation de leurs parents;</li><li>mauvaises habitudes intestinales, troubles de l'apprentissage de la propreté, et parfois refus de passer du temps sur le siège des toilettes.</li></ul><p>Certains enfants peuvent avoir peur des toilettes publiques, alors que d’autres préfèrent simplement continuer de jouer plutôt que d’aller à la toilette lorsqu’ils ressentent l’urgence d’évacuer des selles. Ils préfèrent « se retenir », ce qui cause une accumulation de selles.</p><p>Voici d’autres causes moins courantes de la constipation :</p><ul><li>maladies qui causent des <a href="/Article?contentid=746&language=French">vomissements</a> ou de la <a href="/Article?contentid=30&language=French">fièvre</a>, et qui provoquent une perte de liquides corporels et de la <a href="/Article?contentid=776&language=French">déshydratation</a>;</li><li>certains médicaments comme la <a href="/Article?contentid=2999&language=French">morphine</a>;</li><li>insuffisance de la glande thyroïde (<a href="/Article?contentid=2309&language=French">hypothyroïdisme</a>);</li><li><a href="/Article?contentid=830&language=French">maladie de Hirschsprung</a>, maladie de l’intestin que l’on diagnostique habituellement dans les premières semaines de vie.</li></ul> | | | <h2>Comment prendre soin de votre enfant qui souffre de constipation</h2><p>Chez la majorité des enfants, la constipation peut être soulagée en changeant le régime alimentaire et les habitudes de vie. Une fois que la constipation a commencé, elle peut durer longtemps. Le traitement est de longue haleine et requière la patience, la coopération et l'engagement de la part des membres de la famille et de l'école. </p><h3>Régime alimentaire des enfants de moins de 1 an</h3><p>Les bébés de moins de 2 mois ne sont généralement pas constipés. Parlez au médecin de votre enfant avant d'apporter des changements au lait ou à la préparation pour nourrissons (lait maternisé) de votre bébé ou de donner des médicaments pour soulager la constipation. </p><p>Si votre bébé a moins de 4 mois, vous pouvez envisager de donner une once (30 ml) de jus de pommes ou de jus de pruneaux 1 ou 2 fois par jour.</p><p>Si votre bébé a plus de 4 mois, vous pouvez lui donner de la nourriture en purée à teneur élevée en fibres, comme des abricots, des haricots, des céréales, des pêches, des poires, des prunes et des pruneaux.</p><h3>Régime alimentaire des enfants de plus d’un an</h3><p>Faites boire à votre enfant beaucoup de liquides, surtout de l’eau.</p><p>Assurez-vous que votre enfant mange des fruits et des légumes tous les jours. Le Guide alimentaire canadien recommande que les enfants consomment 4 à 6 portions de fruits et légumes par jour. Les pommes, les abricots, les haricots, les bleuets, le brocoli, le chou, le chou-fleur, les dates, les figues, la laitue, les pois, les poires, les pruneaux et les raisins secs sont de bons exemples. Évitez tous les aliments avec lesquels les enfants plus jeunes risqueraient de s’<a href="/Article?contentid=1039&language=French">étouffer</a>.</p><p>Faites en sorte d’augmenter la portion de fibres dans le régime alimentaire de votre enfant. Faites-lui manger du son tous les jours. C’est un laxatif émollient naturel puisqu’il a une teneur élevée en <a href="/Article?contentid=964&language=French">fibres</a>. Il y a de nombreuses sources de son parmi lesquelles choisir : céréales au son (type All-Bran), muffins au son, biscuits Graham, gruau, pain de blé entier. Le maïs soufflé (popcorn) est également une bonne source de fibres pour les enfants de plus de 4 ans.
</p><p>Certains aliments sont une cause connue de constipation. Diminuez-en la quantité dans le régime alimentaire de votre enfant. On peut citer en exemple les aliments pauvres en fibres comme le riz blanc, le pain blanc, la malbouffe comme les croustilles (chips) ou les boissons gazeuses sucrées. Se gaver de produits laitiers au détriment d’aliments riches en fibres peut aussi constiper. Les changements de régimes alimentaires sont plus efficaces quand toute la famille suit ces choix santé.
</p><h3>Apprentissage de la propreté</h3><p>Deux à trois fois par jour et 20 à 30 minutes après les repas, faites en sorte que votre enfant passe au moins 5 minutes sur le siège de toilette ou sur le pot pour bébé. Même s’il n’évacue pas de selles, vous favorisez le développement d’une habitude. À cette fin, vous pourriez trouver utile de vous servir d’un calendrier pour entretenir leur nouvelle habitude : de jeunes enfants voudront chaque jour apposer leurs autocollants sur le diagramme après leur séance sur le petit pot.</p><p>Votre enfant devrait être confortablement installé, les genoux élevés, avec un repose-pied pour empêcher les jambes de votre enfant de pendre de chaque côté. Il aidera aussi à maintenir les genoux pliés, ce qui facilite l’évacuation des selles.</p><p>Si vous éprouvez de la difficulté avec l’apprentissage de la propreté et que votre enfant retient ses selles, il se peut que vous deviez retarder son apprentissage de la propreté jusqu’à ce que son problème de constipation ait été traité avec succès.</p><h3>Activité physique régulière</h3><p>L’exercice ou l’activité physique peut aider à prévenir la constipation. Les enfants d’un à quatre ans ont besoin de 180 minutes (3 heures) d’<a href="/Article?contentid=642&language=French">exercice physique régulier</a> chaque jour; les enfants de cinq ans et plus ont besoin de 60 minutes (une heure). </p><h3>Médicaments</h3><p>Si un changement dans le régime alimentaire ne soulage pas la constipation de votre enfant, parlez-en à son médecin. Certains enfants ne seront pas réceptifs aux seuls changements dans les habitudes alimentaires ou pour aller à la selle et auront besoin de médicaments.</p><p>Les médicaments les plus efficaces contre la constipation sont les émollients fécaux. Leur effet est dû au fait qu’ils attirent l’eau dans les intestins et en chassent les selles. Le <a href="/Article?contentid=219&language=French">polyéthylène glycol (PEG 3350)</a> est sans danger pour les enfants et peut être utilisé pendant de longues périodes. De nombreuses marques sont disponibles sans ordonnance. Le produit n’a aucun goût quand il est complètement dissous dans une boisson.</p><p>Pour les enfants souffrant de constipation sévère, des doses plus importantes de médicaments sont nécessaires au départ pour vider les intestins des selles accumulées et soulager la douleur due à la constipation. Vous pouvez ensuite ajuster la dose pour aider l’enfant à aller à la selle tous les jours.</p><p>Les suppositoires ou les lavements sont à éviter autant que possible. Si vous devez les utiliser, suivez scrupuleusement les indications de votre médecin.</p><p>N’ayez pas peur de donner à votre enfant un traitement contre la constipation à long terme sous la supervision de votre médecin. Les intestins ne deviendront pas dépendants du PEG 3350 et ne deviendront pas paresseux. Aller à la selle de façon régulière est important pour la santé des intestins.</p> | | | | <h2>À quel moment consulter le médecin de votre enfant</h2><p>Consultez le médecin de votre enfant si :</p><ul><li>la santé générale de votre enfant semble affectée par sa constipation;</li><li>il y a du sang dans les selles;</li><li>votre enfant a de la <a href="/Article?contentid=30&language=French">fièvre</a>;</li><li>il urine souvent ou a mal lorsqu’il urine;</li><li>il commence à souiller ses sous-vêtements;</li><li>il perd du poids;</li><li>il se réveille la nuit pour aller à la selle;</li><li>il se plaint de douleurs abdominales.</li></ul><h3>Amenez votre enfant au service des urgences le plus proche si :</h3><ul><li>il souffre beaucoup;</li><li>il vomit sans cesse ou le vomi est vert foncé;</li><li>son abdomen (ventre) est gonflé.</li></ul> | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | constipation | https://assets.aboutkidshealth.ca/AKHAssets/constipation.jpg | | Découvrez les causes de la constipation et comment la soulager avec un régime alimentaire, l’apprentissage de la propreté ou des médicaments. | Main | | |
Comment le port du casque permet de prévenir les traumatismes crâniens | Comment le port du casque permet de prévenir les traumatismes crâniens | Helmets: How they prevent injury | C | French | Prevention | Child (0-12 years);Teen (13-18 years) | Head | NA | Healthy living and prevention | Caregivers
Adult (19+) | NA | | 2022-07-13T04:00:00Z | | | | | | 8.70000000000000 | 59.6000000000000 | 1553.00000000000 | | Health (A-Z) - Procedure | Health A-Z | <p>Apprenez comment les casques sont conçus pour prévenir les traumatismes crâniens.</p> | <div class="asset-video"><iframe src="https://www.youtube.com/embed/Zie-UrMfMKk?rel=0&hl=fr&cc_load_policy=1"></iframe> </div><p>Les sports et les activités récréatives jouent un rôle important dans la santé et le développement des enfants. Ils présentent toutefois aussi des risques de blessures: près de la moitié des lésions chez les enfants qui sont soignées aux services des urgences tous les ans sont liées aux sports et aux loisirs. Le crâne offre une certaine protection au cerveau, mais de graves traumatismes peuvent tout de même se produire sans le port du casque.</p> | <h2>Comment le crâne protège le cerveau</h2><p>Le crâne présente des caractéristiques évoluées protégeant le cerveau de plusieurs manières.</p><ul><li>L’os épais du front, qui fait partie de l’os frontal, protège une grande région du cerveau formée par les lobes frontaux. Cependant, pour que la tête soit légère, une grande partie du crâne est plus fragile. Par exemple, l’os temporal dans la région de la tempe est assez mince.</li><li>Grâce à sa forme quasi-sphérique, le crâne protège efficacement le cerveau fragile contre les pressions et les impacts qu’il peut subir. Comme le cerveau a à peu près la même consistance qu’une gelée, il a besoin d’être bien protégé.</li><li>Le cerveau baigne dans un mélange de substances nutritives appelé liquide céphalorachidien (LCR) qui amortit les chocs. Les méninges qui sont formées de trois membranes sont situées entre le LCR et le crâne.</li></ul><p>En dépit de cette protection, l’impact de certains accidents peut déplacer rapidement le cerveau qui rebondit sur la face intérieure du crâne avec assez de force pour entraîner des lésions. Un impact soudain peut aussi endommager les tissus du cerveau ou les connexions entre ses cellules ou causer la rupture des vaisseaux sanguins qui l’alimentent. Le dessus de la tête peut aussi subir des coupures ou des ecchymoses, en particulier s’il se frappe à un objet tranchant. Certains traumatismes peuvent provoquer une fracture du crâne.</p><h3>Comment le cerveau et le crâne des enfants diffèrent de ceux des adultes</h3><p>Les enfants, et surtout ceux en bas âge, font des chutes plus souvent que les adultes. De plus, ils n’ont pas de réflexe de se protéger la tête lorsqu’ils tombent. La tête d’un enfant est large et lourde par rapport à la taille de son corps et équilibrée sur un coup mal soutenu par de muscles faibles. Par conséquent, la tête et la colonne cervicale sont facilement blessées. Voilà ce qui explique en partie pourquoi les moins de 19 ans représentent presque le tiers des cas d’hospitalisation pour des traumatismes crâniens. C’est aussi pourquoi il est si crucial de porter
<a href="/Article?contentid=1983&language=French">un casque bien ajusté pour la pratique de nombreux sports et d’activités récréatives</a>.</p> | <h2>À retenir</h2>
<ul>
<li>En cas d’accident, les casques sont conçus pour répartir la force d’impact sur une plus grande surface et prévenir les impacts directs avec le crâne.</li>
<li>Le port du casque peut faire toute la différence entre subir un traumatisme grave et se sortir indemne d’un accident.</li>
<li>Il existe des casques adaptés à la plupart des sports. Les enfants devraient être munis d’un casque se prêtant à l’activité qu’ils effectuent. Consultez l’étiquette d’homologation du casque afin de savoir pour quelles activités ce dernier est approprié.</li>
<li>La plupart des pays ont adopté des règlements qui visent l’utilisation et la conception des casques. Assurez-vous toujours que votre enfant est muni d’un casque même si vous n’êtes assujetti à aucune loi rendant son port obligatoire.</li>
</ul> | | | | | | | | <h2>Comment vous pouvez aider votre enfant</h2><p>Les traumatismes crâniens peuvent se solder par une invalidité permanente. Le port du casque est un moyen simple et éprouvé de prévenir d’éventuelles tragédies et de s’assurer une tranquillité d’esprit.</p><p>De toute évidence, le port du casque ne peut pas protéger les enfants contre toutes les lésions possibles. C’est pourquoi il est capital de transmettre aux enfants des aptitudes en matière de sécurité. Les règles à respecter pour se protéger la tête et le cou dans les sports de contact représentent un autre volet important de la prévention des traumatismes.</p><p>Consultez un médecin en cas de perte de connaissance ou de perte de connaissance apparente suivant un traumatisme crânien, même si votre enfant portait un casque au moment où celui-ci est survenu. Le médecin pourra déterminer si votre enfant souffre d’une
<a href="/Article?contentid=766&language=French">commotion cérébrale</a>.</p><p>Si le traumatisme est assez grave pour éventuellement causer une commotion cérébrale, vous devrez aussi remplacer le casque de votre enfant.<br></p><p>Vous devriez également porter un casque pour donner l’exemple et pour vous protéger.</p> | | | | | | | | | | | | <h2>Comment les casques permettent de prévenir les traumatismes crâniens</h2>
<p>Le port du casque peut, dans de nombreux cas, faire toute la différence entre se sortir indemne d’un accident et y subir un traumatisme grave.</p>
<p>En règle générale, les casques sont conçus afin de:</p>
<ul>
<li>permettre à la tête de ralentir plus progressivement</li>
<li>répartir la force d’impact d’une percussion ou d’une chute sur une plus grande surface</li>
<li>prévenir les impacts directs avec le crâne.</li>
</ul>
<p>Le bon casque peut assurer une protection contre les traumatismes crâniens au cours de la pratique des sports et des activités qui suivent:</p>
<ul>
<li>bicyclette</li>
<li>football</li>
<li>hockey</li>
<li>équitation</li>
<li>patinage sur glace</li>
<li>conduite de véhicules hors route et de véhicules tout-terrain (VTT)</li>
<li>rugby</li>
<li>ski et planche à neige.</li>
</ul>
<p>Il ne s’agit pas des seuls sports dont les adeptes ont avantage à être muni d’un casque. Le port du casque durant bon nombre d’autres activités permet de réduire considérablement les traumatismes crâniens qui y sont associés.</p>
<h2>Caractéristiques des casques permettant de prévenir les traumatismes crâniens</h2>
<p>Les matériaux et la forme des casques constituent d’importantes caractéristiques en vue de minimiser le risque de lésions au cerveau.</p>
<ul>
<li>La majorité des casques sont garnis de mousse ou d’un autre matériau comprimable. Si la tête subit un impact, le crâne s’enfonce dans la mousse, puis sa projection est ralentie sur quelques centimètres. Par après, la mousse est déformée, mais le crâne et le cerveau s’en portent nettement mieux.</li>
<li>Au fil du temps, on a modifié la forme des casques afin d’en améliorer l’ajustement et la stabilité. Un casque mal ajusté n’offre aucune protection. Si vous ou votre enfant avez essayé de porter un casque auparavant pour finalement y renoncer parce qu’il vous gênait ou ne vous tenait pas sur la tête, ajustez-en les courroies ou la garniture intérieure ou utilisez-en un différent.</li>
<li>Certains casques présentent des douzaines d’ouverture pour l’aération afin de protéger la tête. Ils sont cependant plus chers étant donné qu’ils offrent une mousse de meilleure qualité.</li>
</ul> | <h2>Types de casques</h2><p>Il existe des casques adaptés à la plupart des sports. Les enfants devraient être munis d’un un casque se prêtant à l’activité qu’ils effectuent. Par exemple, porter un casque de vélo pour jouer au hockey ou l’inverse comporte des risques.</p><p>Même si les modèles varient, il existe deux grandes catégories de casques pour les sports non motorisés:</p><ul><li>les casques protégeant la tête contre un seul impact</li><li>les casques protégeant la tête contre des impacts multiples.</li></ul>
<h3>Casques protégeant la tête contre un seul impact</h3><p>Ces casques sont conçus pour absorber la force d’impact d’un seul accident grave et doivent donc être remplacés suite à une collision.</p><ul><li>La protection de mousse, qui est du polystyrène expansé, est comprimée au moment de l’impact et ne reprend pas sa forme originale.</li><li>Ces casques peuvent servir à faire du vélo sur des voies publiques, la plupart des types de randonnée à vélo tout-terrain, du ski et de la planche à neige. Ils offrent aussi une protection adéquate pour la pratique du patin à roues alignées, à moins que votre enfant fasse des acrobaties, joue au hockey sur ces patins ou a souvent des accidents.</li></ul><h3>Casques protégeant la tête contre des impacts multiples</h3><p>Les casques contre les impacts multiples peuvent absorber le choc d’un certain nombre d’accidents. Ces casques relativement nouveaux peuvent souvent servir à plus d’un sport.</p><ul><li>Ils sont garnis de polypropylène expansé ou de mousse de polyuréthane capable de se comprimer et de se décomprimer pour reprendre sa forme de départ.</li><li>Comme ils sont rigides, ils permettent de répartir la force d’impact sur une plus grande surface.</li><li>Ils peuvent être utilisés pour le vélocross, la planche à neige tout-terrain, le trial, la motocyclette tout-terrain, la planche à roulettes, le patin à roues alignées acrobatique, le parkour, le patinage sur glace, le hockey et l’escalade de rocher.</li><li>Ils ne se prêtent pas au ski alpin, au ski nautique, aux sauts à cheval ou autres sports équestres, aux sports d’équipe ou aux activités motorisées comme la conduite d’un véhicule tout-terrain.</li></ul> | <h2>Élaboration de normes relatives à l’utilisation et à la conception de casques</h2>
<p>De nombreux pays ont adopté des règlements qui visent l’utilisation et la conception des casques.</p>
<h3>Lois et règlements sur le port du casque</h3>
<p>La plupart des provinces et des territoires du Canada possèdent des lois qui exigent que les enfants de moins de 18 ans portent un casque lorsqu'ils font du vélo sur une voie publique. La réglementation s’étend habituellement aux passagers des bicyclettes, comme les enfants transportés par un parent. Certaines villes peuvent aussi avoir leurs propres lois sur le port du casque.<br></p>
<p>En général, les parents des enfants de moins de 16 ans sont tenus de s'assurer que leur enfant porte un casque et pourraient faire l’objet d’une contravention en cas d’infraction à la loi. Les enfants de 16 à 17 ans sont eux-mêmes responsables de porter leur casque.</p>
<p>Selon les lois de la province ou du territoire où ils habitent, les enfants doivent également porter un casque lorsqu'ils font:</p>
<ul>
<li>de la patinette, de la planche à roulettes, du patin à roues alignées ou du patin à roulettes</li>
<li>de l'équitation</li>
<li>du hors route et du tout-terrain</li>
<li>de la motoneige ou sont tirés en traîneau derrière une motoneige</li>
<li>de la motocyclette ou de la mobylette.</li>
</ul>
<p>Assurez-vous toujours que votre enfant est muni d’un casque même si vous n’êtes assujetti à aucune loi rendant son port obligatoire.</p>
<p>Plusieurs organismes établissent des normes auxquelles les casques doivent satisfaire pour des activités diverses. Ils font ensuite des essais pour s’assurer que les casques peuvent servir à ces fins. Quand vous achetez un casque, choisissez-en un qui a été homologué par un organisme de sécurité national.</p>
<p>Bien qu’il soit généralement plus sage de porter des casques distincts pour chaque activité pratiquée, certains d’entre eux sont homologués pour plus d’une activité. Consultez l’étiquette d’homologation située sur le dessus du casque afin de savoir pour quelles activités ce dernier est approprié.</p>
<h2>Les casques ont des limites</h2>
<p>Il est important que tout le monde (et particulièrement les enfants) reconnaisse que le port du casque ne rend pas invincible. Voici des situations où le casque ne peut pas offrir de protection.</p>
<ul>
<li>La force d’impact peut dépasser la capacité de résistance du casque. Un casque peut normalement protéger le cerveau pendant une chute, mais il ne peut cependant pas prévenir un traumatisme grave si, par exemple, un enfant à vélo frappe un arbre la tête la première. Les casques ne sont souvent pas plus à l’épreuve des collisions impliquant un cycliste et un automobiliste.</li>
<li>Le casque ne protège que ce qu’il couvre. Les adeptes de compétitions de descente à vélo tout-terrain et de motocross se protègent souvent aussi le menton et la mâchoire en portant un casque intégral. Mais, un compétiteur parcourant une longue distance ou gravissant des pentes jugera probablement que ce type de masque piège trop de chaleur.</li>
<li>Un casque doit être bien ajusté pour permettre d’assurer une protection adéquate. De plus, un enfant doit porter et attacher correctement le casque pour qu’il le protège. Des instructions d’ajustement sont généralement fournies par le fabricant.</li>
<li>Un casque qui est tombé ou qu’un enfant portrait au moment d’un accident n’offrira peut-être plus une protection efficace même s’il n’a pas l’air endommagé. Dans ces situations, il est préférable de s’en procurer un nouveau.</li>
</ul> | | | | | | | | | | | | | | | https://assets.aboutkidshealth.ca/AKHAssets/helmets_how_they_prevent_injury.jpg | Prévenir les traumatismes crâniens | | Main | | |
Vivre avec une maladie chronique : obtenir du soutien pour soi-même lorsqu’on s’occupe d’un enfant | Vivre avec une maladie chronique : obtenir du soutien pour soi-même lorsqu’on s’occupe d’un enfant | Living with a chronic condition: Supporting yourself as a caregiver | V | French | Psychiatry | Child (0-12 years);Teen (13-18 years) | NA | NA | Conditions and diseases | Adult (19+)
Caregivers | NA | | 2018-11-26T05:00:00Z | | | | | | 9.10000000000000 | 63.6000000000000 | 715.000000000000 | | Flat Content | Health A-Z | <p>Apprenez comment protéger votre propre santé mentale et votre bien-être tout en faisant face aux émotions engendrées par le diagnostic d’une maladie chronique chez un enfant.</p> | <p>À la suite d’un diagnostic de <a href="/Article?contentid=3400&language=French">maladie chronique</a> chez un enfant, il est normal de ressentir toute une gamme d’émotions comme de la culpabilité, de la tristesse, de la colère ou du soulagement. Ces émotions peuvent être dirigées vers vous, votre partenaire, votre enfant, l’équipe de soins de santé ou le monde en général.</p> | | <h2>À retenir</h2><ul><li>Il est naturel de ressentir toute une gamme d’émotions lorsque votre enfant reçoit un diagnostic de maladie chronique.</li><li>Essayez d’employer des stratégies d’adaptation positives comme faire de l’exercice, pratiquer des passe-temps et garder le contact avec la famille et les amis. Cela vous aidera et donnera le bon exemple à votre enfant.</li><li>Renseignez-vous auprès de l’équipe de soins de santé de votre enfant sur les groupes de soutien sociaux portant spécifiquement sur sa maladie.</li><li>Discutez avec un ami en qui vous avez confiance ou avec un professionnel de la santé si vous vous sentez énervé, que vous éprouvez des troubles du sommeil qui perdurent ou si vous avez perdu intérêt à vos passe-temps ou à vos autres activités.</li></ul> | <p>N’essayez pas d’ignorer ces émotions ni vos réactions face à la maladie de votre enfant. Plutôt, prenez soin de vous et utilisez des méthodes d’adaptation positives comme :</p><ul><li>faire une marche ou pratiquer d’autres exercices;</li><li>dormir suffisamment;</li><li>avoir une alimentation équilibrée;</li><li>continuer à pratiquer des passe-temps et des activités que vous aimez;</li><li>gardez le contact avec vos amis et votre famille.</li></ul><p>Cette approche vous aide non seulement à gérer votre stress, mais aussi à mieux prendre soin de votre enfant. En fait, les recherches démontrent que les parents qui améliorent leurs propres niveaux de stress ont un impact positif sur la santé de leur enfant.</p><p>L’équipe de soins de santé de votre enfant peut vous recommander des <a href="/Article?contentid=3402&language=French">stratégies d’adaptation</a> qui pourront vous aider, vous et votre enfant. Il pourrait s’agir de rencontrer d’autres personnes aux prises avec le même diagnostic que votre enfant ou de vous joindre à un groupe d’aide associé à la maladie chronique en question. Ces soutiens sociaux peuvent :</p><ul><li>vous aider à vous adapter à élever un enfant atteint d’une maladie chronique;</li><li>offrir des conseils et des trucs réalistes permettant de gérer votre temps et les rendez-vous médicaux en plus de gérer les symptômes de votre enfant de même que les effets indésirables des médicaments, s’il y a lieu.</li></ul><p>Cependant, il est toujours important de discuter avec l’équipe de soins de santé de votre enfant avant d’apporter des changements à sa routine de soins.</p><h2>Présenter un exemple positif à votre enfant ou à votre adolescent</h2><p>En tant que parent, vous êtes un modèle d’adaptation positive, vous demandez de l’aide au besoin et vous défendez les besoins de votre enfant ou de votre adolescent auprès du système de soins de santé. Votre enfant apprendra de quelle manière gérer sa maladie chronique en observant la façon dont vous y faites face.</p><p>Parfois, vous aurez à expliquer à votre enfant comment et pourquoi une activité donnée devient une stratégie d’adaptation. Expliquez-lui, par exemple, que le fait de marcher ou de courir vous aide à gérer votre stress. Le fait également de discuter de vos émotions avec des amis proches vous aide à moins vous inquiéter. Lorsqu’il vous voit faire des choix sains et bien vous adapter, il est plus susceptible de faire de même.</p><h2>Signaux vous avertissant d’aller chercher du soutien pour vous-même</h2><p>Parfois, malgré tous vos efforts, vous pourriez éprouver de la difficulté à faire face à la maladie chronique de votre enfant. Vous pourriez être dans l’obligation d’obtenir un soutien particulier pour vous-même si vous :</p><ul><li>éprouvez de la difficulté à comprendre ou à vous souvenir des instructions des fournisseurs de soins;</li><li>éprouvez de la difficulté à vous endormir ou à demeurer endormi pendant la nuit;</li><li>avez l’impression d’être constamment énervé;</li><li>ressentez de la rancune envers votre enfant;</li><li>n’éprouvez plus de plaisir à pratiquer des activités que vous aimiez par le passé.</li></ul><p>Le cas échéant, il pourrait être utile de discuter avec un ami en qui vous avez confiance ou avec un professionnel afin d’obtenir de l’aide.</p> | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | https://assets.aboutkidshealth.ca/AKHAssets/iCanCopeSCD/duration_location_frequency_SCD_J4T.jpg | Obtenir du soutien pour soi-même | Apprenez comment protéger votre propre santé mentale et votre bien-être tout à la suite d’un diagnostic d’une maladie chronique chez un enfant. | Main | | |
Sécurité dans les terrains de jeu | Sécurité dans les terrains de jeu | Playground safety | S | French | Prevention | Child (0-12 years);Teen (13-18 years) | NA | NA | Healthy living and prevention | Caregivers
Adult (19+) | NA | | 2022-07-13T04:00:00Z | | | | | | 6.80000000000000 | 72.8000000000000 | 726.000000000000 | | Flat Content | Health A-Z | <p>Apprenez comment vous assurer que votre enfant s’amuse en toute sécurité au terrain de jeu.</p> | <p>Se rendre à pied jusqu’au parc est une excellente façon pour les parents et les enfants de prendre l’air et de faire un peu d’exercice. Aller au parc peut être une activité physique extérieure très amusante pourvu que les parents et les enfants n’oublient pas l’importance de la sécurité.<br></p> | | <h2>A retenir</h2>
<ul>
<li>Examinez le matériel du terrain de jeu afin de repérer les zones tranchantes ou les surfaces dangereuses.</li>
<li>Enseigner à votre enfant les règles de sécurité à respecter et comment se comporter avec prudence.</li>
<li>Évitez de descendre dans les glissoires avec votre bambin. Il est plus prudent de laisser les enfants y glisser seuls.</li>
<li>Retirez à votre enfant tout vêtement, y compris son casque de vélo, risquant de se coincer dans les structures du terrain de jeu.</li>
<li>Surveillez votre enfant en tout temps, qu’il soit à un terrain de jeu public, à des fontaines de jets d’eau ou dans votre cour arrière.</li>
<li>Lavez toujours les mains de votre enfant ainsi que les vôtres en rentrant du terrain de jeu.</li>
</ul> | <h2>Sécurité dans les terrains de jeu et les parcs publics</h2><p>Voici des consignes de sécurité que les parents doivent retenir:</p><ul><li>Dans les terrains de jeu, le sol sous les installations de jeu et les entourant doit être recouvert d’une couche de matériaux mous assez profonde pour amortir une chute. Les meilleurs matériaux sont les copeaux de bois, le paillis de jardinage ou de caoutchouc, le sable ou les gravillons. Un sol gazonné et la terre comportent des risques parce qu’ils peuvent durcir sous l’effet des changements météorologiques.</li><li>Examinez le matériel du terrain de jeu afin de repérer les zones tranchantes ou les surfaces rouillées pouvant être dangereuses au toucher.</li><li>Les installations surélevées comme les glissoires ou les structures d’escalade doivent comporter des garde-corps ou d’autres barrières pour empêcher les enfants de chuter.</li><li>Montrez à votre enfant à ne pas ramasser ou jouer avec les déchets au sol et dites-lui de prévenir tout adulte qui le surveille s’il trouve des morceaux de verre ou des seringues.</li><li>Surveillez-le pendant qu’il joue pour empêcher tout comportement dangereux ou risquant de l’être.</li><li>Assurez vous qu’il utilise le matériel convenant à son âge. En général, si les enfants ne peuvent pas atteindre une structure, ils ne devraient pas y jouer.</li><li>Retirez les cordons de serrage des vêtements, les foulards ou tout autre article risquant de se coincer ou de s’accrocher dans les structures du terrain de jeu.</li><li>Assurez-vous que les vêtements et les chaussures de votre enfant sont bien attachés afin de minimiser les risques de blessure.</li><li>Évitez de descendre les glissoires avec un jeune enfant ou un bambin. Il est plus prudent, en réalité, de laisser les enfants y glisser seuls.</li><li>Sachez comment administrer les premiers soins au cas où votre enfant se blesse.</li><li>Donnez à votre enfant des
conseils de sécurité dans les terrains de jeu adaptés aux enfants pour qu’il apprenne à y être prudent.</li><li><p><a href="/Article?contentid=1981&language=French">Lavez toujours les mains</a> de votre enfant ainsi que les vôtres, en rentrant du terrain de jeu, en particulier si vous avez joué dans le bac à sable. Vous pourriez aussi vous servir de désinfectant pour les mains. Il est important de se laver les mains, car le bac pourrait comporter des excréments d’animaux s’y étant arrêté pendant la nuit. Votre enfant pourrait devenir malade si, par exemple, ayant touché des excréments avec les mains, il se les met dans la bouche ou touche ses aliments avec les mains immédiatement avant de les manger.</p></li></ul><h2>Règles de sécurité que les enfants devraient apprendre et comprendre</h2><ul><li>Rappelez à votre enfant que le terrain de jeu est un lieu public qu’il doit partager avec d’autres enfants.</li><li>Apprenez-lui à attendre patiemment son tour pour utiliser le matériel.</li><li>Montrez-lui comment jouer avec prudence et à traiter les autres enfants comme il voudrait l’être lui aussi.</li><li>Dites-lui de se tenir loin des balançoires et des poignées ou barres de préhension du matériel en mouvement.</li><li>Rappelez-lui de tenir les garde-corps des structures.</li><li>Enseignez-lui, lorsqu’il descend dans une glissoire, de toujours s’installer les pieds en premier et de placer les mains près du corps.</li></ul><h2>Sécurité dans les installations de jeu des cours arrières</h2><p>La plupart des installations de jeu destinées aux cours arrières englobent des glissoires, des balançoires et des structures d’escalade. Rappelez-vous que votre installation doit reposer sur une couche de matériaux mous assez profonde pour amortir en partie le choc d’une chute. Le sable ou les copeaux de bois sont les options les plus sûres. Un sol gazonné et la terre offrent moins de protection parce qu’ils peuvent durcir avec le temps.</p><h2>Sécurité aux fontaines à jets d’eau et aux pataugeoires</h2><p>Quand les enfants s’amusent à des fontaines à jets d’eau ou dans des pataugeoires, il y a invariablement des risques de
<a href="/Article?contentid=1968&language=French">noyade</a>. Assurez vous en tout temps que les enfants vous voient et que vous êtes à leur portée, particulièrement s’ils ont moins de cinq ans. L’eau constitue un attrait pour ces jeunes enfants, mais ils ne sont pas assez âgés pour saisir les risques qu’elle comporte, pas plus que leurs aptitudes ont des limites.</p><h2>Conseils de sécurité près de l’eau</h2><ul><li>Apprenez à votre enfant à marcher et non à courir. Les sols mouillés sont glissants et les enfants peuvent facilement y faire une chute.</li><li>Veillez à ce que votre enfant porte des chaussures étanches.</li><li>Signalez ou réparez sans tarder tout bri ou dommage aux installations.</li></ul> | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | https://assets.aboutkidshealth.ca/AKHAssets/playground_safety.jpg | | Apprenez comment vous assurer que votre enfant s’amuse en toute sécurité au terrain de jeu. | Main | | |
Consommation de substances et trouble lié à la consommation de substances | Consommation de substances et trouble lié à la consommation de substances | Substance use and substance use disorder: Overview | C | French | Adolescent;Psychiatry | Pre-teen (9-12 years);Teen (13-18 years) | NA | NA | Conditions and diseases | Adult (19+)
Caregivers | NA | | 2019-01-30T05:00:00Z | | | | | | | | | | Health (A-Z) - Conditions | Health A-Z | <p>La consommation de substances consiste à faire usage d’alcool, de tabac et de drogues pour son plaisir personnel. Découvrez quelles substances les adolescents affectionnent plus particulièrement et pourquoi, et ce que vous pouvez faire à propos de la consommation de substances si ce sujet vous préoccupe.</p> | <h2>Quelles substances les préadolescents et les adolescents utilisent-ils le plus fréquemment?</h2><p>Au cours des dix dernières années, l’alcool et le cannabis sont devenus les substances les plus fréquemment utilisées par les préadolescents et les adolescents.</p><p>Le fait qu’un plus grand nombre d’adolescents utilisent également à l’heure actuelle des cigarettes électroniques (vapotage) est une tendance préoccupante. La recherche récente révèle que plus d’adolescents affirment vapoter au lieu de fumer par rapport à l’année dernière.</p><p>Ils recherchent également des effets hallucinogènes en consommant des médicaments contre le rhume en vente libre et d’autres médicaments sur ordonnance, y compris des analgésiques, des calmants et des médicaments contre le TDAH.</p> | <h2>À quel âge les enfants et les adolescents commencent-ils à consommer des substances?</h2><p>La recherche indique que l’âge moyen lors de leur première consommation d’alcool est 15,8 ans; l’âge moyen lors de leur première consommation de cannabis est 15,4 ans.</p><p>Un pourcentage moins élevé de plus jeunes adolescents affirment consommer des substances. Notamment, une étude dans les écoles ontariennes révèle qu’au cours de l’année précédente, un élève sur dix de la septième année (âgé d’environ douze ans) a déclaré avoir consommé de l’alcool et un élève sur 50 en septième année a consommé du cannabis.</p><p>Il est courant chez les adolescents de faire une consommation massive d’alcool (cinq verres ou plus à la fois) d’autant plus que les beuveries font souvent l’objet de paris. Au cours d’une étude récente en Ontario, presque 40 % (deux sur cinq) des élèves de la douzième année ont déclaré avoir bu une quantité massive d’alcool le mois précédent.</p><p>Certains enfants peuvent faire l’expérience de l’alcool ou du tabac en petite quantité à un plus jeune âge dans le cadre des pratiques culturelles ou religieuses de la famille. Peu d’éléments probants permettent d’affirmer que le fait de boire de l’alcool à un jeune âge prévient ou favorise les problèmes de consommation d’alcool future.</p> | <h2>À retenir</h2><ul><li>L’alcool et le cannabis sont les substances que les adolescents essaient le plus souvent.</li><li>Les adolescents souffrant d’autres maladies mentales, y compris la dépression et l’anxiété, sont plus à risque de souffrir d’un trouble lié à la consommation de substances.</li><li>En tant que parent, vous êtes la personne la mieux placée pour observer des modifications dans le comportement de votre adolescent et pour aborder la question avec celui-ci sans porter de jugement.</li></ul> | | <h2>Quel indice pourrait me confirmer que mon enfant a des problèmes de toxicomanie?</h2><p>La consommation régulière chez l’adolescent d’une substance peut entraîner l’apparition chez lui de <a href="/Article?contentid=3664&language=French">symptômes problématiques</a> qui augmentent avec la consommation.</p><p>Premièrement, la consommation régulière d’une substance peut être associée à une grande gamme de problèmes de santé physique et mentale, de difficultés à l’école et à la maison et à des démêlés avec la justice. Les risques liés à la santé augmentent si l’adolescent consomme plus d’une substance à la fois, et c’est particulièrement le cas lorsqu’une de ces deux substances est l’alcool.</p><p>Deuxièmement, la consommation d’une substance peut conduire à la dépendance. L’augmentation de la tolérance induite par la dépendance physique fait en sorte que le consommateur doit continuellement augmenter la quantité consommée de substances pour obtenir le même effet. S’il consomme moins ou plus du tout, il fera l’expérience de symptômes de sevrage. Le niveau de dépendance varie selon la substance, la quantité que votre enfant ou adolescent consomme et la fréquence à laquelle il consomme.</p><p>De plus, les adolescents atteints de troubles liés à la consommation de substances :</p><ul><li>font preuve d’un manque d’assiduité à l’école, au travail ou manquent à leurs responsabilités;</li><li>ressentent le besoin impérieux de consommer;</li><li>ne réussissent pas à se défaire de leur dépendance malgré leurs efforts.</li></ul> | <h2>Certains facteurs augmentent-ils la susceptibilité à la toxicomanie?</h2><p>Un problème de toxicomanie peut survenir plus fréquemment lorsque l’une ou l’autre des conditions suivantes se présente :</p><ul><li>L’enfant ou l’adolescent a un problème de santé mentale (voir ci-dessous).</li><li>La famille a des antécédents en matière de toxicomanie.</li><li>Les enfants ont été victimes de mauvais traitements ou ont fait des expériences négatives.</li><li>L’enfant ou l’adolescent se déclare LGBTQ2+.</li><li>L’adolescent est un sans-abri.<br></li></ul><h2>Les problèmes liés à la toxicomanie se posent-ils en présence d’autres troubles de santé mentale?</h2><p>Environ le tiers des jeunes personnes souffrant d’un problème de santé mentale comme la <a href="/Article?contentid=19&language=French">dépression</a>, l’<a href="/Article?contentid=18&language=French">anxiété</a> ou le <a href="/Article?contentid=1922&language=French">TDAH</a> développeront également un problème de toxicomanie. C’est ce qu’on appelle un trouble concomitant. Parmi les adolescents atteints de toxicomanie, le tiers ou la moitié souffrira d’une maladie mentale concomitante.</p> | | | | | <h2>Que faire si je me préoccupe du fait que mon enfant ou mon adolescent a un problème de toxicomanie?</h2><p>Surveillez le comportement de votre enfant et amorcez une conversation honnête avec lui concernant vos observations et vos doutes sur sa consommation de drogues ou d’alcool. Lorsque vous abordez le problème de <a href="/Article?contentid=3665&language=French">la toxicomanie avec votre enfant ou votre adolescent</a>, concentrez-vous surtout sur sa santé et son bien-être.</p> | | <h2>Quand consulter un médecin ou un professionnel de la santé pour de l’aide particulière</h2><p>Si vous êtes préoccupé des problèmes de toxicomanie de votre adolescent, encouragez-le à consulter ou amenez-le passer une évaluation chez un professionnel de la santé ou un autre professionnel comme un conseiller en orientation.</p><p>Informez votre adolescent que vous êtes sensible au fait qu’il peut vouloir garder des choses concernant sa santé pour lui, mais qu’il peut s’informer de sa santé en privé au médecin et discuter avec lui de ses préoccupations personnelles.</p><p>Les adolescents étant en général en bonne santé, ils peuvent ne pas sentir le besoin de subir un examen annuel. Mais ce serait une bonne idée d’encourager votre adolescent à consulter un médecin ou un infirmier pour vérifier son état de santé physique, mental et social. C’est l’occasion d’isoler les facteurs qui le mettent à risque vis-à-vis des problèmes de santé mentale et de lui permettre de discuter avec son fournisseur de soins au sujet de sa santé sous tous les aspects.</p> | | | | | | | | | | | | | | | | | | <h2>Références</h2><p>Boak, A., Hamilton, H.A., Adlaf, E.M., & Mann, R.E. (2017). Drug use among Ontario students, 1977-2017: Detailed findings from the Ontario Student Drug Use and Health Survey (OSDUHS). <em>CAMH Research Document Series No. 46</em>. Retrieved from
<a href="https://www.camh.ca/-/media/files/pdf---osduhs/drug-use-among-ontario-students-1977-2017---detailed-findings-from-the-osduhs.pdf?la=en&hash=2B434CDAAD485834497E3B43F2264BDEB255F29F">https://www.camh.ca/-/media/files/pdf---osduhs/drug-use-among-ontario-students-1977-2017---detailed-findings-from-the-osduhs.pdf?la=en&hash=2B434CDAAD485834497E3B43F2264BDEB255F29F</a></p><p>Canadian Centre on Substance Use and Addiction (n.d.).
<em>The Real Deal on Youth and Drugs</em>. Retrieved from
<a href="http://www.ccsa.ca/Eng/topics/Children-and-Youth/Real-Deal-on-Youth-and-Drugs/Pages/default.aspx">http://www.ccsa.ca/Eng/topics/Children-and-Youth/Real-Deal-on-Youth-and-Drugs/Pages/default.aspx</a></p><p>Canadian Centre on Substance Use and Addiction (2016).
<em>Marijuana: Fact and Fiction</em>. Retrieved from
<a href="http://www.ccdus.ca/Resource%20Library/CCSA-Marijuana-Fact-and-Fiction-Infographic-2016-en.pdf">http://www.ccdus.ca/Resource%20Library/CCSA-Marijuana-Fact-and-Fiction-Infographic-2016-en.pdf</a></p><p>Canadian Centre on Substance Use and Addiction (2017).
<em>Canadian Drug Summary: Alcohol</em>. Retrieved from
<a href="http://www.ccsa.ca/Resource%20Library/CCSA-Canadian-Drug-Summary-Alcohol-2017-en.pdf">http://www.ccsa.ca/Resource%20Library/CCSA-Canadian-Drug-Summary-Alcohol-2017-en.pdf</a></p><p>Health Canada (2018).
<em>Canadian Student Tobacco, Alcohol and Drugs Survey 2016-2017</em>. Retrieved from
<a href="https://www.canada.ca/en/health-canada/services/canadian-student-tobacco-alcohol-drugs-survey.html">https://www.canada.ca/en/health-canada/services/canadian-student-tobacco-alcohol-drugs-survey.html</a></p> | | | | | | | | | https://assets.aboutkidshealth.ca/AKHAssets/hemophilia_and_cigarette_smoking.jpg | Consommation de substances | Partagez cette ressource avec votre adolescent pour leur faire apprendre davantage sur la consommation des substances et la toxicomanie. | Main | | |
Maladies dues à la chaleur chez les jeunes athlètes | Maladies dues à la chaleur chez les jeunes athlètes | Heat-related illness in young athletes | M | French | NA | School age child (5-8 years);Pre-teen (9-12 years);Teen (13-18 years) | Body | NA | Conditions and diseases | Caregivers
Adult (19+) | Headache;Nausea;Vomiting | | 2022-07-13T04:00:00Z | | | | | | 8.80000000000000 | 59.8000000000000 | 1229.00000000000 | | Health (A-Z) - Conditions | Health A-Z | <p>Apprenez comment prévenir et traiter les maladies dues à la chaleur chez les enfants et les adolescents qui font des activités physiques par temps chaud et humide. </p> | <p>En été, les sports occupent une place importante pour de nombreux enfants et adolescents. Toutefois, la pratique d’activités physiques par temps chaud et humide peut accroître les risques de maladies dues à la chaleur.</p>
<p>Selon l’American Academy of Pediatrics, bon nombre de facteurs rendent les enfants et les adolescents plus vulnérables aux maladies dues à la chaleur causées par l’effort physique. Ils comprennent:</p><ul><li>les climats chauds et humides</li><li>l’adaptation insuffisante aux activités physiques dans la chaleur et l’humidité</li><li>l’adaptation insuffisante à l’intensité ou à la durée de l’activité ou à l’uniforme et à l’équipement de protection</li><li>l’effort physique d’intensité ou de durée excessive</li><li>les vêtements, l’uniforme ou l’équipement de protection qui ne permet pas au corps d’évacuer assez de chaleur</li><li>une hydratation inadéquate</li><li>une capacité cardiovasculaire insuffisante</li><li>un sommeil ou un repos inadéquats</li><li>une période insuffisante de repos et de récupération entre les séances de pratique ou d’entraînement et les parties ayant lieu le même jour</li><li>l’embonpoint ou l’obésité</li><li>une maladie dont souffre l’enfant ou dont il a récemment été atteint et autres troubles médicaux (ou médicaments) qui ont une incidence sur l’hydratation et la capacité de l’organisme de réguler sa température.</li></ul> | | <h2>À retenir</h2><ul><li>De nombreux facteurs rendent les jeunes athlètes plus vulnérables aux maladies dues à la chaleur. Ils comprennent, entre autres, le port de vêtements ou d’un équipement de protection ne permettant pas au corps d’évacuer assez de chaleur, la pratique d’activités physiques de façon trop intense ou d’une durée excessive et une période insuffisante de repos entre les séances d’entraînement et les parties ayant lieu le même jour.</li><li>La déshydratation est une maladie due à la chaleur courante. Si elle n’est pas traitée à temps ou correctement, elle peut provoquer des crampes de chaleur, l’hyponatrémie (faible taux de sodium dans le sang), l’épuisement par la chaleur et un coup de chaleur.</li><li>En règle générale, l’hyponatrémie, les crampes de chaleur et l’épuisement par la chaleur peuvent d’abord être traités de la façon suivante : remplacement des liquides et du sodium évacués du corps, repos à l'ombre et, s’il y a lieu, enlèvement des vêtements ou de l’équipement excessifs. Il ne faut amener un enfant déshydraté chez le médecin que si ses symptômes persistent pendant plus d’une heure ou s’aggravent.</li><li>Le coup de chaleur est une urgence médicale. En attendant l’arrivée d’un médecin, il est important d’abaisser la température corporelle en utilisant les moyens disponibles comme l’immersion dans l’eau froide ou la vaporisation d’eau froide.</li><li>Pour prévenir le risque de maladies dues à la chaleur, il faut boire assez de liquides avant, pendant et après les activités physiques et réduire l’intensité et la durée de ces dernières, prendre fréquemment des pauses et porter des vêtements amples et légers. </li></ul> | | | | | | <h2>Maladies dues à la chaleur courantes pendant la pratique de sports</h2>
<p>La <a href="/Article?contentid=776&language=French">déshydratation</a> est couramment le premier signe d’une maladie due à la chaleur. Si des mesures appropriées ne sont pas prises pour y remédier, elle peut entraîner:</p>
<ul>
<li>des crampes de chaleur</li>
<li>l’hyponatrémie</li>
<li>l’épuisement par la chaleur</li>
<li>dans les cas extrêmes, un coup de chaleur (qui est une urgence médicale).</li>
</ul>
<h2>Crampes de chaleur</h2>
<p>Les crampes de chaleur constituent les blessures musculaires attribuables à la chaleur les plus courantes. Elles surviennent d’habitude dans les cas de déshydratation légère ou de perte de sodium (sel) se produisant normalement par suite d’activités physiques d’une certaine durée.</p>
<p>Les symptômes des crampes de chaleur comprennent de fortes douleurs musculaires (ou spasmes) non attribuables à une blessure. En règle générale, les crampes touchent les jambes, mais elles peuvent aussi se produire dans les bras ou l’abdomen.</p>
<h3>Comment traiter les crampes de chaleur</h3>
<p>Si votre enfant présente des crampes de chaleur, il doit:</p>
<ul>
<li>cesser son activité et s’asseoir</li>
<li>boire du jus de fruits dilué ou une boisson énergisante pour remplacer les liquides et le sodium perdus</li>
<li>faire de légers étirements ou de la relaxation.</li>
</ul>
<p>Le fait de masser la zone du corps atteinte peut aussi soulager les crampes.</p>
<p>Votre enfant pourra poursuivre son activité physique quand les crampes auront disparu.</p>
<h3>Quand consulter un médecin</h3>
<p>Amenez votre enfant chez le médecin si ses crampes durent plus d’une heure.</p>
<h2>Hyponatrémie</h2>
<p>L’organisme a besoin d’une quantité minuscule de sodium pour réguler sa tension artérielle et sa volémie (volume de sang) et permettre aux muscles et aux nerfs de bien fonctionner.</p>
<p>L’hyponatrémie survient quand le taux de sodium dans le sang est trop faible. Elle est davantage susceptible de se produire si un enfant:</p>
<ul>
<li>n’obtient habituellement pas assez de sodium dans son régime alimentaire</li>
<li>perd une importante quantité de sodium durant des activités physiques ardues prolongées</li>
<li>boit beaucoup plus d’eau que nécessaire pendant et après ses activités physiques.</li>
</ul>
<p>L’hyponatrémie est un trouble assez rare qui peut être dangereux. Les adolescents sont plus à risque que les jeunes enfants d’en être atteints.</p>
<h3>Comment traiter l’hyponatrémie</h3>
<p>Quand votre enfant pratique des activités prolongées (pendant au moins une heure) au soleil, il doit remplacer l’eau et le sodium perdus en prenant une boisson énergisante ou un repas. L’emploi de pilules d’iode n’est pas recommandé.</p>
<h2>Coup de chaleur</h2>
<p>Le coup de chaleur est une affection dangereuse qui peut entraîner des lésions aux organes et la mort. De fait, le coup de chaleur attribuable à l’effort physique constitue la principale cause des cas de mortalité évitables dans les sports pour les jeunes.</p>
<p>Le coup de chaleur survient quand le corps d’un enfant produit plus de chaleur qu’il en élimine. Ses principaux symptômes sont:</p>
<ul>
<li>l’augmentation de la température interne du corps à une valeur habituellement supérieure à 40 °C (104 °F)</li>
<li>l’altération du système nerveux central pouvant se traduire par une altération de l’état de conscience, des convulsions, une confusion, une instabilité affective ou un comportement irrationnel</li>
<li>la peau chaude et humide ou sèche (l’effort physique intense provoque habituellement une transpiration abondante).</li>
</ul>
<h3>Comment traiter le coup de chaleur</h3>
<ul>
<li>Le coup de chaleur est une urgence médicale. Composez alors immédiatement le 911.</li>
<li>En attendant les services d’urgence, enlevez les vêtements et l’équipement de sport de l’enfant.</li>
<li>Commencez à abaisser sa température par tout moyen disponible: en l’immergeant dans l’eau froide, en le vaporisant d’eau froide, en plaçant des ventilateurs devant lui ou en utilisant des sacs à glace.</li>
<li>Ne lui donnez rien à boire.</li>
<li>Surveillez sa température corporelle.</li>
</ul>
<p>Même si un enfant atteint d’un coup de chaleur se sent mieux une fois que vous lui avez refroidi le corps, il ne doit pas reprendre ses activités avant d’avoir été examiné par un médecin.</p> | | | <h2>Comment prévenir les maladies dues à la chaleur pendant la pratique de sports et les autres activités physiques</h2>
<ul>
<li>Assurez-vous que l’entraîneur ou le surveillant de votre enfant connaît les incidences de la pratique d’activités physiques par temps chaud et qu’il a établi un plan pour remédier aux éventuelles maladies dues à la chaleur.</li>
<li>Réduisez l’intensité des activités physiques quand il fait très chaud et que le temps est humide ou ensoleillé.</li>
<li>Prenez fréquemment des pauses.</li>
<li>Portez des vêtements amples légers et de couleurs pâles.</li>
<li>Assurez-vous que votre enfant est bien hydraté avant de faire des activités physiques.</li>
<li>Quand votre enfant pratique des activités physiques, assurez-vous qu’il boit à des intervalles de 15 à 20 minutes même s’il n’a pas soif. En général, les enfants âgés de 9 à 12 ans doivent boire entre 100 mL et 250 mL de liquides toutes les 20 minutes, et les adolescents, entre 1 L et 1,5 L de liquides toutes les heures.</li>
<li>Si votre enfant pratique une activité physique pendant moins d’une heure, il peut se réhydrater en buvant de l’eau. Si l’activité dure plus d’une heure, il devrait prendre une boisson énergisante pour remplacer l’eau et le sodium éliminés en transpirant.</li>
<li>N’utilisez pas de pilules d’iode afin de rétablir les taux de sodium et des autres électrolytes dans le sang, car elles contiennent trop de sodium.</li>
<li>Par temps très chaud et humide, annulez l’activité physique ou rendez-vous dans un endroit climatisé.</li>
</ul> | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | https://assets.aboutkidshealth.ca/AKHAssets/heat_related_illness_in_youg_athletes.jpg | Maladies dues à la chaleur | Comment prévenir et traiter les maladies dues à la chaleur chez les enfants qui font des activités physiques par temps chaud et humide. | Main | | |
Activité physique : directives à l’intention des enfants et des jeunes | Activité physique : directives à l’intention des enfants et des jeunes | Physical activity: Guidelines for children and teens | A | French | Prevention | Baby (1-12 months);Toddler (13-24 months);Preschooler (2-4 years);School age child (5-8 years);Pre-teen (9-12 years);Teen (13-18 years) | NA | NA | Healthy living and prevention | Caregivers
Adult (19+) | NA | | 2020-04-13T04:00:00Z | | | | | | 0 | 0 | 0 | | Flat Content | Health A-Z | <p>Découvrez les directives en matière d’activité physique, le sommeil et le temps d'écran pour les bébés, les enfants et les jeunes.</p> | <p>L’activité physique régulière présente toute une gamme de
<a href="/Article?contentid=641&language=French">bienfaits pour la santé physique et mentale de votre enfant</a>. Bien que le maintien de l'activité physique peut être plus difficile pendant les périodes stressantes, l'activité physique pourrait en fait être encore plus bénéfique pendant ces périodes. Mais, parfois, il est difficile de savoir exactement quel type d’exercice l’enfant doit faire et combien de temps il doit consacrer à l’activité physique chaque semaine.</p> | | <h2>À retenir</h2>
<ul>
<li>L’activité physique régulière présente de nombreux bienfaits pour les enfants. Elle améliore, entre autres, ses habiletés motrices, la solidité de ses os et sa concentration à l’école.</li>
<li>À partir de 5 ans, les enfants doivent s’adonner à des jeux actifs au moins 60 minutes par jour.</li>
<li>Les enfants et les jeunes de 5 à 17 ans doivent faire 60 minutes d’activité d’intensité modérée à élevée chaque jour. Ils doivent pratiquer des activités qui renforcent les muscles et les os au moins trois fois par semaine.</li>
<li>Les activités bénéfiques sont, entre autres, le patin à roues alignées, la gymnastique, le soccer, le hockey et la course de cross-country.</li>
</ul> | <h2>Combien de temps mon enfant doit-il consacrer à l’activité physique?</h2>
<p>Les directives en matière d’activité physique sont surtout fonction de l’âge de l’enfant. Les recommandations visant les enfants de moins de 18 ans sont contenues dans deux séries de directives de la Société canadienne de physiologie de l’exercice (SCPE):</p>
<ul>
<li>les <a target="_blank" href="http://www.csep.ca/cmfiles/guidelines/csep_paguidelines_early-years_FR.pdf">Directives canadiennes en matière d’activité physique pour la petite enfance (de 0 à 4 ans),</a></li>
<li>les <a href="https://indd.adobe.com/view/7197c3fc-0a7b-4298-81ec-d048b49752b6" target="_blank">Directives canadiennes en matière de mouvement sur 24 heures pour les enfants et les jeunes (âgés de 5 à 17 ans)</a>.</li>
</ul>
<h3>Directives canadiennes en matière d’activité physique pour la petite enfance</h3>
<p>Le tableau ci-dessous présente des activités et la durée de celles-ci qui conviennent pendant les premières années de vie de votre enfant.</p>
<table class="akh-table">
<thead>
<tr><th>Âge</th><th>Durée de l’activité</th><th>Exemples</th></tr>
</thead>
<tbody>
<tr>
<td>Avant 1 an</td>
<td>Jouer au sol sous surveillance plusieurs fois par jour</td>
<td>
<p>Passer <a href="https://www.youtube.com/watch?v=9spQHtP_uDU">du temps sur le ventre</a></p>
<p>Atteindre et saisir des objets</p>
<p>Pousser</p>
<p>Tireret ramper</p>
</td>
</tr>
<tr>
<td>De 1 an à 4 ans</td>
<td><p>180 minutes (3 heures) chaque jour d’activités physiques diversifiées dans des environnements différents</p></td>
<td>
<p>Monter les escaliers</p>
<p>Jouer à l’extérieur</p>
<p>Explorer la nature</p>
<p>Marcher</p>
<p>Courir</p>
<p>Danser au son de la musique</p>
</td>
</tr>
<tr>
<td>À partir de 5 ans</td>
<td>60 minutes chaque jour de jeux énergiques</td>
<td>
<p>Sauter</p>
<p>Sauter à la corde</p>
<p>Courir</p>
<p>Rouler à vélo</p>
</td>
</tr>
</tbody>
</table>
<p>Plus l’enfant grandit, plus il a besoin d’activité énergisante. En fait, les bienfaits sont encore plus grands quand l’activité physique quotidienne est plus élevée.</p>
<h3>Directives canadiennes en matière de mouvement sur 24 heures pour les enfants et les jeunes (âgés de 5 à 17 ans)</h3>
<p>Ces directives s’appliquent à tous les mouvements ainsi qu’au repos et à la détente pendant toute la journée et même la nuit. La journée (24 heures) est divisée en quatre composantes:</p>
<ul>
<li>suer,</li>
<li>bouger,</li>
<li><a href="/Article?contentid=645&language=French">dormir</a>,</li>
<li>s’asseoir.</li>
</ul>
<table class="akh-table">
<thead>
<tr><th>Activité</th><th>Directives</th></tr>
</thead>
<tbody>
<tr>
<td>Suer</td>
<td><ul>
<li>Au moins 60 minutes (1 heure) par jour d’activité physique d’intensité modérée à élevée.</li>
<li>Des activités physiques d’intensité élevée et des activités pour renforcer les muscles et les os au moins 3 jours par semaine.</li>
</ul></td>
</tr>
<tr>
<td>Bouger</td>
<td><ul>
<li>Plusieurs heures d’une variété d’activités physiques d’intensité légère structurées et non structurées, comme faire le trajet à pied entre le domicile et l’école et faire des corvées.</li>
</ul></td>
</tr>
<tr>
<td>Dormir</td>
<td><ul>
<li>Pour les enfants de 5 à 13 ans : de 9 à 11 heures de sommeil sans interruption.</li>
<li>Pour les jeunes de 15 à 17 ans : de 8 à 10 heures de sommeil sans interruption.</li>
</ul></td>
</tr>
<tr>
<td>S’asseoir</td>
<td><ul>
<li>Un maximum de 2 heures par jour de loisir <a href="/Article?contentid=643&language=French">devant l’écran</a>.</li>
</ul></td>
</tr>
</tbody>
</table>
<h2>Comment déterminer si les activités de mon enfant sont d’intensité modérée ou élevée?</h2>
<p>Les <strong>activités d’intensité élevée</strong> font suer les enfants et les mettent hors d’haleine. Ils ne peuvent dire que quelques mots entre les respirations. Le hip-hop et la course, faire du vélo ou de la natation à un rythme accéléré en sont des exemples.</p>
<p>Les <strong>activités d’intensité modérée</strong> font aussi suer les enfants et les font respirer plus fort, mais ils peuvent encore parler en bougeant leur corps. Faire du patin à roues alignées ou du vélo dans le quartier après l’école et pratiquer du yoga de niveau moyen en sont des exemples.</p>
<h2>Quel genre d’activités renforcent les muscles et les os?</h2>
<p>Les activités qui renforcent les muscles et les os forcent le corps à soutenir un poids. Faire une randonnée en famille ou avec des amis, sauter à la corde, jouer au tennis ou au basketball ou encore faire de la musculation en utilisant le poids du corps ou des mini-haltères en sont des exemples.</p>
<p>Le cyclisme et la natation sont d’excellents exercices pour développer les muscles et améliorer la santé du cœur. Mais, ils ne sont pas très efficaces pour former des os solidesétant donné que les os n’ont pas à soutenir le même poids quand le corps est en position assise ou dans l’eau.</p>
<h2>Comment inciter mon enfant à être plus actif?</h2>
<p>Il y a souvent un écart entre ce que nous savons qu’il faut faire et ce que nous faisons. En tant que parent, vous pouvez trouver difficile d’inciter votre enfant chaque jour à faire plus d’activité physique, surtout s’il n’est pas habitué, s’il a un surpoids, s’il n’est pas en forme ou s’il se sent déprimé. Or, il y a un certain nombre de conseils qui peuvent aider.</p>
<h3>Créer une routine régulière dès les premières années</h3>
<p>Il est important d’inculquer l’exercice dans le cadre ordinaire de vie de votre enfant dès ses premières années. Si l’activité physique fait partie de sa vie quotidienne, votre enfant sera plus apte à se lever et à bouger quand il sera le plus difficile pour lui de se motiver. Ironiquement, c’est alors que l’activité physique est le plus bénéfique.</p>
<h3>Être un modèle d’habitudes saines</h3>
<p>Donnez le bon exemple. Votre famille pourra voir comment vous intégrez l’activité physique dans votre vie quotidienne de diverses façons. Et, vous en profiterez aussi. En outre, une activité physique régulière créera plus de possibilités pour vous d’être actif et d’avoir du plaisir avec vos enfants.</p>
<h3>Limiter le temps d'écran</h3>
<p><a href="/Article?contentid=644&language=French">Limitez le temps que votre enfant passe devant un écran</a> (à regarder la télévision, à jouer aux jeux vidéo, à clavarder avec des amis dans les médias sociaux). Les enfants de 2 ans et plus ne devraient pas passer plus d’une à deux heures de loisir par jour devant un écran. Les enfants de moins de 2 ans ne devraient avoir aucune exposition à un écran.</p>
<h3>Veiller à la sécurité de votre enfant</h3>
<p>Songez à inciter votre enfant à aller à l’école à pied avec d’autres enfants du quartier en formant un club de marche avec les voisins. Assurez-vous aussi que votre enfant ou votre jeune porte un équipement de protection pour des activités comme le vélo, le patin, la planche à roulettes, le soccer et d’autres activités physiques.</p>
<h3>Choisir une activité qui plait à votre enfant</h3>
<p>Si votre enfant n’a aucune routine préétablie, vous pouvez l’aider à trouver ce qui lui plait vraiment et le laisser avancer par étapes. L’amener dehors, aller nager ou marcher, faire de la course ou du vélo entre amis ou en famille sont toutes d’excellentes façons de commencer. D’autres options sont des cours de yoga (bon nombre sont disponibles en ligne pour suivre à la maison), jouer au soccer et faire de la danse.</p>
<p>Même si votre enfant fait partie d’un sport organisé qu’il pratique quelques fois par semaine, incitez-le à bouger les autres jours. Il peut se rendre à pied ou à vélo chez un ami, ratisser des feuilles, sauter à la corde ou jouer dans un parc du quartier.</p>
<p>Lorsque vous choisissez une activité, il importe que vous et votre enfant preniez en compte:</p>
<ul>
<li>ce qui intéresse votre enfant et</li>
<li>ce qui est disponible à un coût abordable où vous vivez.</li>
</ul>
<p><strong><em>Ce qui intéresse votre enfant</em></strong></p>
<p>Ce ne sont pas tous les enfants qui veulent être le capitaine ou l’étoile de l’équipe. Si votre enfant préfère faire de l’activité physique par lui-même, il pourrait s’intéresser à la course, au vélo ou à la natation. S’il aime s'amuser en équipe où il peut se faire de nouveaux amis et faire partie d’un groupe, les activités en équipe comme le basketball ou le soccer peuvent être de meilleurs choix.</p>
<p><strong><em>Ce qui est disponible à un coût abordable</em></strong></p>
<p>Les coûts liés à certaines activités physiques montent vite. On n’a qu’à tenir compte du coût des uniformes, de l’équipement, des cours et des déplacements pour se rendre à l’entraînement et aux compétitions. Lorsqu’on explore les options pour son enfant, il est bon de vérifier si la ville ou ses centres de loisir offrent des programmes publics. Il y a peut-être aussi des programmes disponibles par l’entremise de l’école. Ces options sont souvent plus abordables.</p>
<h2>Pour inculquer chez votre enfant une bonne attitude envers l’activité physique</h2>
<p>Il y a toujours une certaine crainte et un peu de malaise quand on essaie quelque chose de nouveau. Il faut rappeler à votre enfant qu’il n’a pas besoin d’être le meilleur ou le plus rapide. L’important, c’est de faire de son mieux pour apprécier l’activité qu’il a choisie et apprendre quelque chose.</p>
<p>Si votre enfant tente une activité et qu'elle ne lui plaît pas, inutile de le forcer à continuer. Un enfant ne peut tirer des bienfaits d’une activité physique que si elle lui plaît assez pour la pratiquer régulièrement. On peut alors réfléchir sur des moyens de rendre l’activité plus agréable. Par exemple, la pratiquer avec un ami. Si cela ne fonctionne pas, vous pouvez inciter votre enfant à poursuivre l’activité jusqu’à ce que vous vous entendiez sur quelque chose d’autre. Il est aussi une bonne idée d’inciter votre enfant à faire différentes activités durant la semaine. Ainsi, il aura un peu de variété et il pourra exercer son corps de différentes façons.</p> | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | <h2>Ressources</h2><p>Consultez
<a href="https://prevenirpourdevenir.ca/">Prévenir Pour Devenir</a> pour plus de ressources sur l'importance de l'activité physique.<br></p> | | | | | | | | | | https://assets.aboutkidshealth.ca/AKHAssets/physical_activity_guidelines_school_age.jpg | Lignes directrices sur l'activité physique | | Main | | |
Arthrite psoriasique | Arthrite psoriasique | Psoriatic arthritis | A | French | Rheumatology | Child (0-12 years);Teen (13-18 years) | Body;Skin | Skeletal system | Conditions and diseases | Adult (19+) | Joint or muscle pain;Pain | https://assets.aboutkidshealth.ca/akhassets/arthritis_psoriatic_MED_ILL_EN.jpg | 2017-01-31T05:00:00Z | | | | | | 7.00000000000000 | 62.0000000000000 | 0 | | Flat Content | Health A-Z | <p>L’arthrite psoriasique s’agit d’un type d’arthrite que l’on retrouve chez les personnes atteintes d’une maladie de la peau appelée psoriasis.</p> | <h2>Qu’est-ce que le psoriasis et l’arthrite psoriasique?</h2><p>Le psoriasis est une maladie de la peau. Le psoriasis est un rash produisant des plaques rouges et dont la peau ressemble à de petites écailles. Le rash survient habituellement sur le cuir chevelu, derrière les oreilles, sur les paupières, les coudes, les genoux, les fesses, ou encore dans le nombril. Les ongles de certaines personnes atteintes de psoriasis ont des creux et des bosses.</p><p>Certaines personnes ayant cette maladie sont également atteintes d’arthrite. Ce type d’arthrite s’appelle arthrite psoriasique. Parfois, le psoriasis apparaît avant l’arthrite, parfois c’est l’inverse. Des antécédents familiaux de psoriasis sont un indice important pouvant mener au bon diagnostic.</p> | | <h2>À retenir</h2>
<ul><li>Le psoriasis se présente sous la forme d’une éruption cutanée rouge et écailleuse sur le cuir chevelu, derrière les oreilles, sur les paupières, sur les coudes, sur les genoux, sur les fesses ou dans le nombril.</li>
<li>L’arthrite psoriasique touche de 3 % à 10 % des enfants atteints d’AIJ.</li>
<li>Il peut être modéré ou, au contraire, être grave et persister jusqu’à l’âge adulte.</li></ul> | <h2>Faits éclairs sur l’arthrite psoriasique</h2>
<figure><span class="asset-image-title">Polyarthrite psoriasique</span><img src="https://assets.aboutkidshealth.ca/akhassets/arthritis_psoriatic_MED_ILL_FR.jpg" alt="Illustrations des articulations d’un mâle et d’une fille et de l’éruption psoriatique, des érosions ponctuées et de dactylite" /><figcaption class="asset-image-caption">La polyarthrite psoriasique touche tant les hommes que les femmes. Elle se caractérise par des ongles de couturière, des doigts et des pieds enflés, de la douleur dans les articulations et des éruptions cutanées rouges qui se desquament.</figcaption> </figure>
<p>L’arthrite psoriasique touche autant les hommes que les femmes. Elle se caractérise par des ongles de couturière, une enflure des doigts ou des orteils, de la douleur articulaire et un rash rouge et écailleux.</p><p>Voici quelques faits sur ce type d’arthrite :</p><ul><li>On le retrouve chez 3 à 10 % des jeunes atteints d’AIJ.</li><li>Il apparaît à tout âge.</li><li>Il touche autant les garçons que les filles.</li><li>Il peut toucher peu ou beaucoup d’articulations.</li><li>Tout comme l’arthrite reliée à l’enthésopathie, l’arthrite psoriasique peut s’attaquer aux hanches ou au dos.</li><li>Les doigts et les orteils dont les tendons enflent ou s’inflamment peuvent ressembler à des saucisses. C’est ce qu’on appelle dactylite.</li><li>Il y a un risque modéré de maladie oculaire appelée uvéite.</li></ul><p>Certains enfants et adolescents ont une arthrite psoriasique relativement légère. D’autres ont des symptômes graves qui peuvent continuer à l’âge adulte.</p> | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | Arthrite psoriasique | L’arthrite psoriasique s’agit d’un type d’arthrite que l’on retrouve chez les personnes atteintes d’une maladie de la peau appelée psoriasis. | Main | | |